Rares sont les champions du monde qui ont réussi à captiver les amateurs d'échecs autant que Carlsen. Ce Norvégien extrêmement talentueux ne doit pas son succès aux structures que connaissent les grandes nations des échecs, comme la Russie ou la Chine, mais, comme Bobby Fischer, essentiellement au travail personnel sur ses dons innés.
Carlsen 2 : 2 Nepomniachtchi
Les choses n'ont pas bien commencé, hier, pour Carlsen. Il se faisant en effet surprendre par une attaque sauvage, botte secrète de Nepo. Mais le fantasque Russe laissait déjà passer son avantage dans la deuxième partie en commettant à nouveau une gaffe par trop de précipitation. Dans les deux dernières parties, il ne pouvait faire mieux que de se contenter de la nulle, et de se mordre les doigts.
So 2 : 2 Nakamura
Nakamura est sans doute le seul joueur qui sait faire trembler So même dans une position a priori plate et égale. Mais cela n'a pas été suffisant pour remporter ne serait-ce qu'une partie. So sort donc vainqueur de ce duel américain extrêmement serré.
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L'étude et la pratique de la Najdorf enseignent plusieurs qualités essentielles pour progresser aux échecs, notamment la lutte pour l'initiative, la jeu de défense, ou encore le jeu sur une couleur de cases. Le GM Yannick Pelletier vous explique ces notions méthodiquement.
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